C’est le remontage des vélos qui nous attend aujourd’hui. Une tâche d’autant plus difficile que nous nous apercevons, avec l’ouverture des premiers cartons, que ceux-ci ont été fouillés, vidés et rangés avec bien moins de délicatesse que celle mise lors de l’emballage. Un petit document papier nous indique,dans chaque carton ,que ceux-ci ont été « visités » lors de leur passage aux Etats-Unis pour d’impérieuses raisons de sécurité. Même nos tentes, placées dans les cartons ont été déballées et rangées en vrac…
Nous entamons le remontage, bien aidés par Didier tandis qu’Isa redonne une nouvelle beauté à la toile de la carriole qui commençait, à nouveau, à se découdre.
Tout finit par être remonté et dans le jeu de cache-cache avec les autorités douanières américaines nous n’aurons finalement perdu que deux vis et autant de boulons ainsi qu’un phare arrière cassé. Un moindre mal…
Heureux de cette délicate étape franchie, nous partons tous ensemble arpenter les rues de Chiang Maï en direction du Computer Center. En effet, nous profitons d’être dans une grande ville pour essayer de faire réparer nos deux tablettes qui ont un souci d’écran, pour l’une, et un problème de connectique pour l’autre.
Nous ferons des dizaines de magasins mais toutes nos tentatives se révéleront être des échecs. Nous devons nous rendre à une triste évidence : la technicité galopante rend très vite obsolète les objets numériques. Ainsi nos tablettes qui doivent avoir 3 ou 4 ans se révèlent irréparables : le modèle de vitre n’existe pas pour l’une et le coût de réparation coûte le même prix qu’une tablette neuve pour l’autre.
Nous qui les utilisons au quotidien pour écrire le compte-rendu, transférer les photos ou monter des vidéos devrons donc continuer à nous arracher les cheveux devant les dysfonctionnements de ce matériel que nous considérons comme « quasi-neuf » et qui semblait dater de l’âge de la préhistoire pour toutes les personnes que nous avons sollicitées.
Nous retenterons peut-être encore notre chance demain directement auprès du « Sam…g store » au cas où… mais nous avons bien peur de passer pour des reliques vivantes en faisant examiner notre matériel.
En attendant de réparer le numérique nous poursuivons notre découverte de cette belle ville de Chiang-Maï. Nous sommes séduits par cette ville bordée de canaux et parsemée de très nombreux temples, tous plus magnifiques les uns que les autres.
Cette itinérance pédestre en compagnie de Didier et Isabelle est bien agréable et nous décidons de rester une journée de plus, demain, à Chiang-Maï afin de profiter des uns et des autres et de partir, en pleine forme, après-demain sur les routes de Thaïlande.
Le « bulletin de santé » de vos tablettes nous invite à apprécier, davantage encore , les récits et les photos que vous nous envoyez. Merci.
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Ce n’est jamais agréable de voir que ses bagages ont été fouillés et de constater le manque de soin avec lequel tout a été remis pêle-mêle. Heureusement, comme vous dîtes, cela aurait pu être pire ! (quand-même la casse du phare arrière… grrr !)
On sait bien que nos outils numériques ont une durée de vie programmée bien trop courte pour nous, mais le temps passe si vite qu’ on a à peine le temps de bien maîtriser qu’il faut déjà en changer !
Belles images colorées. Naïa, quelle coquine !
Bisous
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Coucou ha les fouilles on a pas l’habitude quand on reste dans son cocon.
Superbe photos que d’or et une Naia toujours aussi coquine avec son frère et sa soeur Merci
Bisoussss
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Ah l’obsolescence programmée, grand mal du siècle, mais tellement cohérent avec l’évolution galopante des technologies! Et ce n’est pas fini… de la carriole à la voiture autonome en si peu de temps… de la lune à Mars…. Courage la team! Bigs Bisous
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Si votre voyage vous améne dans la région de Nakhon Phanom, Pla Pak et que vous avez besoin d’un point de chutte pour planter la ou les tentes profiter des douches etc n’hésitez pas on vous recevra avec plaisir
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Bonjour Didier,
Merci pour ce message et cette belle invitation.
Nous sommes désormais à Uttaradit et prenons demain la route de Ventiane d’où nous longerons le Mekong jusqu’au Cambodge.
Vivez-vous du côté Thaïlandais ou Laotien ? Si c’est du côté Thaïlandais peut-on ressortir facilement du Laos et y re-rentrer par la suite ou est-on obligés à chaque fois de payer les frais de visas ? Apparemment les douaniers sollicitent souvent des sommes complémentaires non justifiées. Avez-vous également des infos à ce sujet.
Merci encore,
La VeLove Family
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Bonjour, en fait si vous suivez le Mekong jusqu’au Cambodge vous passerez sûrement à Thakhek toujours au Laos, moi je suis de l’autre côté Nakhon Phanom étant la ville frontière entre la Thaïlande et Thakhet au Laos. Je suis à 55 km du Mekong.
Pour les visas je crains effectivement qu’il faille payer à chaque fois et en principe le problème c’est qu’au niveau du pont » de l’amitié » côté Thai on ne peut pas prendre de visa pour le Laos mais peut être côté Laos vous pouvez reprendre un visa pour y re entrer mais la j’avoue que je ne sais pas vraiment.
Didier
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Coucou la petite famille.
Je commente peu mais je vous confirme que je suis votre aventure au quotidien avec toujours autant de gourmandise.
Prenez soin de vous.
Un grand merci à tous ces amis qui vous reçoivent avec autant de gentillesse
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