Le rythme consistant à se lever assez tôt le matin pour effectuer entre 30 et 50 km avant le déjeuner, nous convient bien. Il demande un peu de rigueur pour être opérationnel assez tôt , il mais permet d’éviter les grosses chaleurs et de profiter de l’après-midi pour faire une séance de travaux scolaires, réparer ce qu’il y a à réparer (il y a toujours un petit truc qui lache, aujourd’hui ce sont les sangles de l’un de nos gros sacs arrière), répondre aux mails… et se reposer !
Nous réduisons donc les pauses mais prenons, tout de même, notre temps lorsque nous sommes à vélo. D’autant plus que désormais… ça grimpe ! Nous quittons le niveau de la mer pour nous élever de quelques centaines de mètres avant de redescendre. Nous aimons ces routes vallonnées qui font découvrir leurs charmes à chaque fois que nous arrivons en haut de la côte.
Les supporters Beliziens sont nombreux à nous encourager en nous glissant un petit mot ou en levant le pouce pour nous donner du courage. L’un d’eux, en voiture, fera même demi-tour afin d’offrir une bouteille d’eau bien fraîche à chaque équipage. Tous ces signes amicaux sont précieux et rendent les kilomètres plus accessibles.
Nous arrivons en début d’après-midi à San Ignacio. Une grosse averse se prépare mais nous aurons la chance de trouver refuge… dans une boulangerie française. Nous y déjeunons et faisons honneur à un grand nombre de douceurs de très bonne qualité.
De nombreuses personnes nous ont conseillé de ne pas nous arrêter dans la ville située à la frontière avec le Guatemala. Nous nous arrêterons donc là pour aujourd’hui, profiterons d’une bonne douche, chercherons des réparateurs pour les casses du jour et ferons une belle séance d’école.
Demain matin, au bout d’une quinzaine de kilomètres nous devrions quitter le Belize pour entrer au Guatemala. Une zone d’une cinquantaine de kilomètres sans village nous attendra alors et donc une longue journée de vélo.
En attendant, de nombreux petits monstres sont dans la rue ce soir et dans ces terres anglo-saxonnes on ne badinne pas avec Halloween. Des bonbons pleuvent des balcons et les déguisements sont parfois très recherchés alors : « a trick or a treat ? »
Une boulangerie française…. le top ! Les bronzages sont impressionnants. Bonne route vers le Guatemala !
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Bonjour,
Peut-être ne vous rappelez pas de nous, mais nous suivons vos aventures pratiquement depuis le début. Nous voyageons par procuration.(nous sommes les parents de Célian, qui vous a acheté un pédalier enfant juste avant votre départ).Nous habitons Espère.
Un immense bravo pour ce que vous faites vivre à vos 3 magnifiques chérubins. Ils auront appris certainement plus qu’une année scolaire « zappée » à Luzech.
Nous vous souhaitons une aussi belle dernière moitié de voyage que la première.
Merci pour toutes ces photos et commentaires que vous trouvez le temps d’envoyer malgré le nombre impressionnant de kms par jour que vous effectuez, et ce pas toujours dans des conditions favorables.
Cordialement Claude et Bernadette et comme on dit aux marins « bon vent »
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Bonjour Claude,
Bien sur que nous nous rappelons (envore désolé pour le retard cette soirée ayant été marqué par les au-revoirs plein d’emotion de Christophe à Boissor).
Nous avons suivi l’Aventure de Célian and family cet été grâce à leur blog.
C’est effectivement une experience tres enrichissante pour les enfants qui nous surprennent tous le jours y compris pour parcourir tous ces kilomètres.
On prend le vent favorable avec grand plaisir car nous allons en avoir besoin pour les étapes de montagne sui nous attendent.
Bien à vous,
La VeLove Family
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Du paing, vous avez trouvé du painnnng! J’arrive veux un claquos 🤪 Bigs Bisous la team Vélovefamily
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Avec….
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Bonjour à la Team velove grâce a vous j’ ai appris une expression en lien avec Haloween alors entre « les bonbons ou un sort » pour moi le choix est vite fait.. Voilà encore un petit moment qui a
dû plaire aux enfants cette facétie de dame meteo une pluie…de bonbons ! Juste récompense pour les efforts fournis a coup de pedalage. Bonne découverte du Guatemala
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Encore de beaux récits … j’adore ces moments de solidarité de l’eau c’est si important … c’est la vie ! Bisous
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