L’arrivée au Mexique a marqué une transition nette et franche avec la première partie de notre aventure.
Il y fait humide et chaud! La végétation est luxuriante, avec des fleurs de toutes les couleurs, une faune riche et exotique… on en a pris plein les yeux!
C’est là que nous avons véritablement commencé à prendre la mesure de la diversité des régions, des paysages, des climats, des cultures que nous allons traverser.
Nous avons descendu la péninsule du Yucatan en une petite quinzaine de jours. Nous ne sommes donc pas restés longtemps dans ce pays, mais nous en garderons un grand souvenir! Surtout la moitié Sud de la péninsule beaucoup plus authentique et préservée. (Même si les zones touristiques sont belles et agréables, nous nous y sentions beaucoup moins détendus).
Nous avons pu nous baigner très souvent, dans des ambiances et environnements variés. Les enfants s’en sont donné à coeur joie! Notre dernière nuit en bord de lagune à Huay Pix était vraiment paradisiaque et restera longtemps gravée dans nos esprits (On transporterait bien ce petit coin de nature en France pour s’y installer !).
Nous avons également beaucoup apprécié notre soirée en immersion dans le village d’une communauté Maya. En tout point des rencontres telles qu’on les aime et telles qu’on les recherche grâce au voyage à vélo !
Bref, même si nous y avons effectué nos premiers tours de roue sous la pluie (« C’est une expérience », comme dit Esteban), nous avons trouvé le Mexique fantastique pour la richesse de son patrimoine, de sa culture, de ses habitants, mais aussi de sa gastronomie ! Nous nous sommes régalés ! Lalie a demandé à plusieurs reprises « est ce qu’il y aura encore des tortillas en Amérique Centrale ? »… miam miam!
Oui le Mexique est un pays si riche de par sa culture, son patrimoine, ses paysages, sa faune, sa flore , sa gastronomie et ses habitants, qu’on ne peut qu’avoir envie d’y retourner ! Bonne route vers une nouvelle découverte, le Bélize, ça je ne connais pas !
Bisous
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Mexico, Mexiiiiiiico !
« On oublie tout sous le soleil de Mexico,
On devient fou au son des rythmes tropicaux »
Ce n’est pas moi qui le dit, c’est LUIS MARIANO !
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